
Création à Safi d’une section locale de la Fédération Marocaine des Traiteurs


L’Assemblée générale constitutive de la section locale de la Fédération Marocaine des Traiteurs (FMT) à Safi, a eu lieu samedi, à la cité de l’Océan en présence des professionnels du secteur dans cette province du Royaume.
Cette Assemblée générale tenue en présence aussi de membres du bureau national de la FMT, a été marquée par l’élection à l’unanimité de Abdelilah El Bamoussi en tant que président de cette section locale.
Pour M. Bamoussi, la création de cette section a pour objectif principal de fédérer toutes les forces du secteur en une instance, qui veillera à la défense des intérêts de ses membres.
Dans une déclaration à la MAP, il a fait savoir que la ville de Safi compte une vingtaine de sociétés opérant dans le secteur en plus des sociétés opérant dans l’informel.
Ces dernières, a-t-il expliqué, font face à plusieurs contraintes mais aspirent à intégrer le circuit formel dans les plus brefs délais.
Dans une déclaration similaire, le secrétaire général de la FMT, Hassan Douch, s’est réjoui que la fédération compte actuellement 45 sections réparties à travers le territoire du Royaume, ce qui est de nature à contribuer à la structuration de ce secteur, dont près de 80% des entreprises opèrent dans l’informel.
M. Douch a fait remarquer que les entreprises du secteur sont en arrêt depuis le 15 mars dernier car les métiers de bouche comptent parmi les premiers secteurs qui ont subi de plein fouet les répercussions socio-économiques de la pandémie.
Il s’est, par ailleurs, réjoui que le secteur, qui ne dépendait auparavant d’aucun ministère, soit rattaché aujourd’hui à celui de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie verte et numérique, ce qui est de nature à permettre aux professionnels de résoudre plusieurs problématiques et de réaliser l’essor escompté du secteur.
Créée à Casablanca en 2018, la FMT a pour vocation la structuration, l’accompagnement, la formation et la défense des droits des membres.
Cette jeune association, créée pour servir les intérêts de ses membres, sans distinction du volume des entreprises qui la composent, a pu en deux ans installer des standards de qualité, d’hygiène et de réponse aux attentes de la clientèle, tant en demande d’événementiel que pour les communautés et particuliers.
Source: MEDIA7

Quelle communication des marques pour une reprise réussie ?



La communication de marque constitue sans nulle doute l’un des facteurs de succès de toute entreprise, et ce en toutes circonstances. La démarche constituera certainement un élément important à prendre en considération pour une reprise réussie. Ce sujet a été traité en marge du salon SOLUTION-COVID EXPO, un salon B to B offrant des solutions et des produits innovants. Voici la première partie de cette émission.
Source: LEMATIN

Communication : TAJ BLADI joint la pub utile à l’agréable


A travers sa dernière campagne de communication, la marque de thé TAJ BLADI se démarque sur différents plans.
Prendre le temps de communiquer avec ses clients en leur apportant du nouveau et des surprises, c’est le pari que s’est lancée Taj Bladi. La marque marocaine de thé lance un spot publicitaire de 20 min : un record !
Ce faisant, par la même occasion, la marque offre des recharges gratuites de 20 min ou 300 Mo dans ses packs Taj Bladi Filament Gold.
Ce cadeau est destiné à être offert par ses heureux(ses) gagnants(es) comme l’invite à le faire le message que portent les cartes de recharge mises en jeu. L’annonce publicit ire l’explique très bien. Présentée sous forme de court métrage documentaire, on y voit des Marocaines et des marocains de différents âges, suffisamment représentatifs de leurs concitoyens, s’adresser avec le sourire à un proche pour lui dédier un des messages proposés par la marque : «Twahachtek» (Tu me manques), Ana fakhor bik (Je suis fier de toi)… ), tout en lui faisant publiquement une déclaration d’amour, de remerciement ou d’amitié infaillible, une fois d’une manière drôle, une autre de façon touchante, mais toujours avec la même émotion et la même sincérité.
Source: L’OBSERVATEUR

Au Maroc, la crise sanitaire assomme les métiers du mariage


La crise sanitaire liée au Covid-19 a produit un impact négatif sur les métiers du mariage qui sont à l’arrêt total depuis le 14 mars 2020. Les professionnels du secteur plaident pour la relance de leur activité.
Dans une déclaration à la MAP, le secrétaire général de la fédération marocaine des traiteurs, Hassan Douch a expliqué que le secteur de l’événementiel “familial” est une “industrie en manque de nomenclature”, victime d’un arrêt brusque et total. Or, ce secteur est source de création de millions d’emplois. À en croire M. Douch, les professions formelles et informelles sont durement touchées par la crise sanitaire.
Le domaine des cérémonies de mariages au Maroc repose sur une chaîne de “petits métiers” très complexes et interdépendants et dont la prospérité de l’un dépend de l’autre, a expliqué pour sa part Mounia Benjelloun. Au dire de cette gérante d’une société spécialisée dans l’organisation des mariages, la célébration d’un seul mariage rapporte gros à plus d’une cinquantaine de personnes, liées de loin ou de près à cet événement.
Cet arrêt total, depuis le 14 mars, a affecté tout le secteur, qui évolue en général, dans l’informel et le saisonnier, a-t-elle détaillé. La majorité des clients “ne peuvent pas fêter les noces sans avoir à leurs côtés les membres de leur famille, proche et lointaine”, a renchéri Sahar El Maazouzi, responsable de communication d’une agence spécialisée dans l’organisation des mariages également gérante d’une boutique de caftans.
Nos pairs ont entamé la revente de leurs matériels pour subvenir aux frais persistants, a-t-elle fait savoir, ajoutant que seule la diversification des services a permis à quelques-uns d’atténuer le choc alors que d’autres font face à des pertes.
Face à la situation, les professionnels du secteur appellent à une relance « timide » de l’activité dans le strict respect des mesures sanitaires édictées pour freiner la propagation du coronavirus dans le royaume.
Source: BLADI

L’événementiel au bord du dépôt de bilan


Arrêt d’activité, chiffre d’affaires en chute libre, manque de nomenclature…
Source: L’ECONOMISTE

#7AN_LWA9T : campagne solidaire en faveur du secteur de la communication


Source: GraziaMaroc

Covid-19: L’événementiel bat de l’aile


Source: Mapexpress

Evènementiel : Les Salons reprennent au Maroc, le SICCAM du 10 au 11 juillet à Oujda


Placée sous le signe ’’Offshoring et digital, nouvelles stratégies post Covid-19’’, cette édition réunira les professionnels de l’offshoring représentant des centres d’appels, des sociétés informatiques, des cabinets de recrutement et de formation, ainsi que des institutions publiques.
Tenant compte des contraintes nées de la pandémie du Covid-19, le SICCAM sera organisé en édition virtuelle et réelle restreinte, soulignent les organisateurs de cette rencontre prévue au siège du Centre régional d’investissement (CRI) de la région de l’Oriental.
Au menu de cette 17ème édition figurent notamment l’inauguration de l’expo ‘’20 ans d’offshoring’’, une réunion du Club de l’Offshoring de l’Oriental, une présentation d’innovations pour les centres de contacts, et une visite d’Oujdashore où il reste encore deux opportunités d’implantations fortement accompagnées pour des centres de contacts ou centres de services.
Source: Mapexpress.

Le “Brand Purpose” et le digital, l’avenir de la communication des marques


Les marques ont été fortement impactées par la crise du covid-19. En témoignent les chiffres d’une étude consacrée au comportement des annonceurs au Maroc pendant la crise et leurs projections post-covid, réalisée par le Groupement des annonceurs du Maroc (GAM), en partenariat avec Opinionway: 67% des annonceurs ont gelé momentanément leurs campagnes durant la crise, 8% les ont définitivement annulées et seulement 25% les ont maintenues.
Un constat confirmé par Mounir Jazouli, expert dans le domaine de la communication, et ex-président du GAM, contacté par Médias24 ce mercredi 1er juillet.
“Globalement, il y a eu un maintien des niveaux de communication. Il y a eu une baisse, mais elle n’était pas catastrophique. Les campagnes suspendues ont été remplacées par d’autres, plus adaptées à la crise du coronavirus”, nous a-t-il confié.
En effet, d’après l’étude du GAM, 56% des annonceurs, qui ont gelé leurs campagnes momentanément, les ont remplacées par des initiatives covid-19.
Source: Medias24

L’ÉVÉNEMENTIEL ASPHYXIÉ : les prestataires de l’événementiel en appellent au gouvernement


Une des premières décisions prises par les autorités dès lors que le premier cas de Covid-19 avait été recensé au Maroc, le 2 mars, avait été d’annuler la quinzième édition du Salon international de l’agriculture au Maroc (SIAM), qui devait se tenir du 14 au 19 avril, et ce comme chaque année depuis sa première édition en 2006 à Meknès. Normal bien sûr et même exigible, tant la santé des citoyens doit, en dernier ressort, toujours primer, mais aussi illustratif de l’impact qu’a la pandémie actuelle de Covid-19 sur l’événementiel marocain dans son ensemble.
Ainsi, selon le Groupement professionnel des prestataires de l’événementiel au Maroc (GPPEM), présidé par Aziz Bouslamti qui réunit les professionnels du secteur et s’en considère comme le porte-parole, l’écosystème de l’industrie de l’événementiel (EIE) devrait enregistrer, au cours de cette année, une baisse de son chiffre d’affaires global de l’ordre de 70%. Catastrophique à tout le moins, surtout si l’on sait que cet EIE constitue pour près de 5% du produit intérieur brut (PIB) national -63 milliards de revenus au total, en 2019-, et qu’il emploie, directement ou indirectement, 190.000 personnes: à en croire le GPPEM, seules 40.000 de ces personnes ne se retrouveraient pas, à terme, sans travail.
Source: MarocHebdo